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Test Pro Evolution Soccer 2011

Le 16/01/2011 à 12:01, article écrit par Gears Of Man (XboxPassion).

Vivant depuis plusieurs années maintenant dans l’ombre de la licence d’EA Sports FIFA, la série des Pro Evolution Soccer à malgré tout su trouver depuis longtemps un publique propre à la série, réservé avant tout au fans de la simulation, la vrai.
Les voilas de retour cette année avec leur nouveaux cru, PES 2011...

Pro Evolution Soccer 2011
Comme chaque année, les promesses étaient au rendez-vous, avec en annonce un système de passe révolutionnaire, des dribbles très poussés, une vitesse de jeu réglable, ou encore un meilleur équilibre entre la défense et l’attaque. Mais quand est-il réellement lorsqu’on pose les mains sur le pad?

Une pluie de nouveautés



La première nouveautés, pour ne pas se perdre tant celles-ci sont présentes, résides dans la gestion des passes, qui influeront complètement sur le style de jeu de chacun. En effet, Konami a eu l’excellente idée de mettre en place un système de passe manuel dans lequel vous serez obligé de diriger avec votre stick droit l’endroit ou la passe sera effectué. En plus de devoir diriger au millimètre près l’endroit ou la passe sera faite, vous devrez également surveiller la puissance que vous mettrez dans celle-ci, si vous ne dosez pas assez, un adversaire risque de couper la trajectoire et de partir directement en contre, si vous la dosez trop, le pauvre joueur qui réceptionnera le boulet de canon sera obligé de courir derrière pour le rattraper. Grace à ce nouveau système, déroutant pour les habitués de la série, le jeu devient de suite beaucoup plus épuré, les ailes deviennent alors de véritables armes meurtrières lorsqu’un joueur part en profondeur, et la défense comme l’attaque prennent une réelle implication lors des phases de jeux.
On est heureux de voir également que les défenseurs ont dans l’ensemble un comportement beaucoup plus réaliste que dans le volet précédent. Fini les défenseurs qui ouvrent l’axe aux attaquants comme signe de bienvenu, cette fois-ci le rôle de stoppeur n’est pas prit à la légère et l’axe devient presque impénétrable pour l’équipe adverse. La grosse armes dans PES 2011, résidera donc dans le fait de percer sur les côtés, de faire un centre décisif, à ras de terre pour plus d’efficacités, et de conclure par une frappe bien cadrée en pleine lucarne.

Pro Evolution Soccer 2011
L’aspect graphique a lui aussi été revu à la hausse. On est heureux de voir que les animations ont subits un gros travail, devenant un régale pour les yeux. La physique du ballon, discutable dans les derniers épisodes pour certains, a été corrigé pour proposer quelque chose de très réaliste. Les textures sont encore plus belles qu’avant, la palettes de couleur kitch des derniers épisodes s’est estompé pour proposer un terrain visuellement parlant et plaisant. Quand à la modélisation des visages, dont Konami excelle dans le domaine, les visages sont incroyablement détaillés, le grain de peau ultra réaliste, il suffit d’ailleurs de regarder Messi, le ballon d’or 2010, pour en être convaincu.

Une gestion des dribbles cohérente



La possibilité de régler la vitesse de jeu, demandé mainte fois par les joueurs, est enfin disponible. Le fait d’accélérer, ou de ralentir la vitesse de jeu aura une influence énorme pour les tricoteurs, dont je fait partit. A défaut d’un FIFA, ou la gestion des dribles utiles se révèle être un échec, l’un des rares dans le soft, Konami a su intégrer un système rendant les dribbles parfaitement cohérents et utiles en match, pour les joueurs aguerris. En effet, puisqu’en ce rendant dans les options lors d’un match, vous aurez la possibilités de créer vos combinaison de dribbles et ainsi de donner du fil à retordre à la défense, et également aux gardiens, redoutables dans cet épisode. Les dribbles que vous aurez choisis, seront alors exécutable lorsque vous choisirez une direction avec votre stick droit, à vous ensuite de faire de bonne combinaison de feintes, de dribbles et de vous entrainer à les réaliser au bon moment, car PES et avant tout une question de timing et pour une fois, de construction.

Pro Evolution Soccer 2011
Concernant le contenu du jeu, PES 2011 propose à peu près le même que l’épisode précèdent, excepté la prestigieuse Copa Libertadores, malheureusement assez mal exploité, mais c’est toujours ça de pris au vu de la difficulté pour Konami de dénicher ses licences. On retrouvera donc des modes classiques tel que la ligue des champions, la ligue des masters, jouables en ligne, ou encore le remarquable mode Vers un Légende. Pour ce à qui ce mode ne parle en rien, il consiste à se créer un joueur, qui devra au fil des saisons, améliorer son jeu pour être recruté par des équipes de plus en plus prestigieuses et devenir au finale l’homme dont tous les journaux parlent. Quelques nouveautés sont disponibles dans ce modes, notamment le rôle attribué par le sélectionneur à chaque match, qui empêche légèrement le joueurs de tomber dans une redondance constante. Mais on constatera surtout que le mode est devenu beaucoup plus réaliste, impossible de rentrer dans des clubs prestigieux seulement à la deuxième saison, les propositions étant beaucoup restreinte que dans l’épisode précédent.



Pro Evolution Soccer 2011
17/20
Pour conclure, Pro Evolution Soccer 2011 remplit admirablement bien sa part du contrat. Même si le soft ne dépasse pas cette année non plus le géant FIFA, il l’égal et propose un gameplay réservé aux véritables techniciens, avec certe un manque de licences, mais un système de passe manuel donnant tout sont sens au terme simulation. Beau, épuré et tenant ces promesses, PES 2011 n’a pas à rougir de la concurrence est restera dans le cœur des joueurs, un épisode sous l’air du changement.

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Jaquette Pro Evolution Soccer 2011

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