Certain joueur, comme moi, on pu constater lors des premières phases de gameplay dévoilaient en vidéo, que le jeu était très, comme dire…bordélique. Je souhaiterais faire taire toute part d’appréhension dans la tête de ses joueurs en vous affirmant que cette sensation ne s’applique que lorsque l’on regarde les vidéo sans connaitre toute les finesse d’un gameplay drôlement intuitif et inspiré.
La première chose qui frappe lors de la première partie de Vanquish, outre son aspect graphique, son les petites similitudes avec d’autres licence, comme la caméra et le déplacement du personnage faisant bougrement penser à Lost Planet, ou encore la voix roque disant « Vanquisshh » lorsque l’on démarre une partie faisant pensé à Résident Evil. Et les similitudes ne s’arrêtent pas là avec ce dernier, chose normal puisque Shinji Mikami, créateur de la licence Resident Evil travaille sur la bête.
La mission disponible dans la démo vous amène dans une sorte de base ennemis immense, ou devrez dézinguer du méchant à la pelle et des mécha gigantesque. Vous incarnez Sam Gideon, un ingénieur ayant mit au point une combinaison de combat décuplant les puissances humaines et d’ôté de nombreuses subtilités à utiliser à votre avantage. Ainsi, cet exosquelette fait partie intégrante du gameplay, après un temps d’adaptation, vous vous surprendrez en train de glisser sur les genoux, de ralentir le temps lorsque vous faite une cabriole ou que vous surgissez de derrière un muret, le tout dans une fluidité déconcertante.
Le but sera alors de la jouer finement, car derrière ses apparences de jeu bourrin, foncer dans le tas ne vous mènera qu’à une mort certaine. Le jeu met donc en place un système de couverture à la Gears Of War par exemple. Lorsque vous vous approchez d’un pan de mur ou d’un petit muret, vous n’aurez qu’à appuyer sur une touche pour vous mettre à l’abri.
L’aspect graphique n’a également pas était délaissé pour autan. Les décors sont fouillés, très profonds, les animations très bien retranscrites et les textures sont assez fines pour être surprit lorsque le jeu affiche plusieurs dizaines d’effet comme des explosions ou des impacts de balles, le tout en affichant pas mal d’ennemis extrêmement bien designer et varié, sous une fluidité exemplaire.
L’aspect sonore semble lui aussi avoir était travailler et fait partit intégrante de l’ambiance assez déjanté et arcade qui se dégage du titre. On pensera notamment à la phase finale contre un bosse gigantesque faisant apparition sous nos pied, ou de petites résonnances sonores se faisait entendre avant de dévoiler le monstre dans un élan de scène d’action hollywoodiennes.
Au finale on ne peut être que séduit par les premières impressions que laisse Vanquish. S’adressant à un public aimant les jeux plutôt arcade et fun, Vanquish semble avoir toute les clés en main pour proposer un jeu sympa en de nombreux points. Beau, fun et d’ôté d’une fluidité à toute épreuve, le jeu se fera languir par une grande communauté de joueurs, ayant vu et reconnu en lui son indéniable potentiel.
