En 2013 vivendi avait racheté 61.1 % des part d'Activision et ainsi devenu l'actionnaire principal d Activision Blizzard dirigé à l'époque par le très médiatique Bobby Kitick. Cout de l'opération : pres de 6 milliards de dollars. Ce que nous ne savions pas et que nous apprenons aujourd'hui c'est que la transaction ne c'est pas faites sans heurts et que Bobby a bien failli pointé au chômage suite à cette transaction !
En effet, Bobby Kotick, qui n'est plus CEO d'Activsion mais toujours actionnaire, a imposé que son groupe d'investissement, SAC LP (un groupe d'investisseurs mené par les dirigeants d'Activision-Blizzard) participe à l'échange et 172 millions d'actions (2.34 millions de dollars). Suite a cette magouille plus ou moins légale, Jean-François Dubos, PDG de Vivendi, avait demandé la démission de Bobby Kotick. voici l’échange de mails entre Dubos et Philippe Capron nouveau président d'Activision.
Dubos :Je me demande vraiment qui va finir par le virer.
Capron: Moi, demain si vous le voulez, suffit de me le demander.
Capron a alors parlé de cette idée à Richard Sarnoff, directeur d'investissement pour vivendi afin de savoir si l'idée était bonne. Après un calcul rapide des cout et des éventuels répercutions, Sarnoff a dit "bonne idée virons le, de toute façon il donne une très mauvaise image du groupe".
Si idée n'est pas allée jusqu’à son terme c'est tout simplement parce que la société chinoise Tencent, qui a participé à la transaction, et les actionnaires minoritaires ont porter plante contre Bobby Kotick pour : " violation des obligations fiduciaires, abus de biens sociaux et enrichissement sans cause" mais aussi contre Vivendi pour ne les avoir pas protéger lors de cette transaction douteuse.
Tout est donc désormais dans le mains d'un juge qui devra rendre sa décision le 8 décembre prochain.